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mardi, 20 octobre 2009

Me lo decía mi abuelito

ns091008.JPGCes derniers jours, l'affaire de Jean Sarkozy et de sa nomination à l'EPAD (car je n'ose pas parler d'élection !) j'ai repensé à cette chanson de Paco Ibañez, dont j'ai trouvé la traduction ici ... Le texte est à l'origine un poème de Jose Agustin GOYTISOLO, écrivain et poète catalan. La traduction est du chanteur provençal Pierre Pascal, ami de Paco Ibanez qui traduit pour lui en espagnol les chansons de Georges Brassens.

 



podcast

 

Me lo decía mi abuelito,

me lo decía mi papá,

me lo dijeron muchas veces

y lo olvidaba muchas más.


Trabaja niño, no te pienses

que sin dinero vivirás.

Junta el esfuerzo y el ahorro

ábrete paso, ya verás,

como la vida te depara

buenos momentos, te alzarás

sobre los pobres y mezquinos

que no han sabido descollar.


Me lo decía mi abuelito,

me lo decía mi papá,

me lo dijeron muchas veces

y lo olvidaba muchas más.


La vida es lucha despiadada

nadie te ayuda, así, no más,

y si tú solo no adelantas,

te irán dejando atrás, atrás.

¡Anda muchacho dale duro !

La tierra toda, el sol i el mar,

son para aquellos que han sabido,

sentarse sobre los demás.


Me lo decía mi abuelito,

me lo decía mi papá,

me lo dijeron muchas veces,

y lo he olvidado siempre más.


traduction : mon grand-père me le disait


Refrain :

Mon grand-père me le disait

Et mon père me le disait

Et plus souvent ils me le dirent

Plus souvent moi je l'oubliais


Travaille fils ne vas pas croire

Que sans fortune tu vivras

Fais des efforts, économise

Joue bien des coudes et tu verras

Combien cette vie te réserve

De bons moments, tu fouleras

Aux pieds, les pauvres et les médiocres

Qui n'ont pas su sortir du tas

(Refrain)

La vie est une lutte impitoyable

Nul ne t'aidera pour tes beaux yeux

Si tu ne gravis pas l'échelle,

Tu resteras en bas, en bas

Allons gamin, travaille ferme

La terre, le mer et le soleil

Appartiennent à ceux qui marchent

Sur le ventre de leurs pareils

(Refrain)

dessin http://undessinparjour.wordpress.com/

mardi, 22 septembre 2009

sans papier

2341609605_1.jpgJ'ai pas de papier

D'après ce qu'on dit

Je vais me faire expulser

Vers ce maudit pays

J'entends même dire

Je vous jure c'est vrai

Que j'allais mourir

Si je résistais

Mettront sur le nez

Un de leur coussin

Voudront m'étouffer

Mais y sont pas bien

Pas de risque que je crie

M'auront bien scotché

La bouche et puis

Les mains les pieds


Tu sais d'où je viens

Y'a pas que des manchots

Ça frappe du poing

Même sur les marmots

Si tu gueules « j'ai faim »

On te coupe la langue

Si c'est « mort aux chiens !»

On te fou la sangle

Je croyais qu'ici

Les bras ouverts

On m'aurait dit

Respire le grand air

Je croyais qu'ici

Finis les cauchemars

Qui me réveillent la nuit

Maman !

J'ai peur dans le noir


Me voilà par terre

Dans cette église

C'est pas l'enfer

Mais ça s'éternise

Paraît que dehors

Y'a des uniformes

Qui veulent ma mort

En bonne et due forme

J'ai pas de papier

D'après ce qu'on dit

Je vais me faire expulser

Vers ce maudit pays

J'ai pas de papier

Et je sais même pas

Si je vais me faire tuer

Ici ou là-bas....


Gavroche

 

Photo : Linternationalmagazine.com

 

mercredi, 08 avril 2009

Femme nue, femme noire

IL5029~Femme-Africaine-III-Posters.jpg

Mon coeur est ardent, comme brûlant, mon soleil.

Grand aussi mon coeur, comme l'Afrique mon grand coeur.

Habitée d'un grand coeur, mais ne pouvoir aimer...

Aimer toute la terre, aimer tous ses fils.

Etre femme, mais ne pouvoir créer;

Créer, non seulement procréer.


Et femme africaine, lutter.

Encore lutter, pour s'élever plutôt.

Lutter pour effacer l'empreinte de la botte qui écrase.

Seigneur!... lutter

Contre les interdits, préjugés, leur poids.

Lutter encore, toujours, contre soi, contre tout.


Et pourtant!...

Rester Femme africaine, mais gagner l'autre.

Créer, non seulement procréer.

Assumer son destin dans le destin du monde


 

 

Mbengué Diakhaté Ndèye-Coumba

Filles du soleil.

Nouvelles Editions Africaines, 1980


Que ce poème réponde aux propos racistes et machistes d'Alain Destrem, un élu parisien méprisant et méprisable du 15ème arrondissement ...

 

Ndèye Coumba Mbengue Diakhaté a été institutrice et écrivaine Sénégalaise. Elle est décédée le 25 septembre 2001. La majeure partie du recueil "Filles du soleil" est composée de poèmes qui posent le problème de la condition sociale des femmes (L'Aveugle - mère , Mirage , Tu n'es qu'une femme , Négresse en laisse , Deux négresses ), mais évoque aussi la douleur face à la mort (Jeune femme morte , Veuve ce jour ). La dédicace du recueil est un poème à l'adresse d'une femme ayant perdu la vie en couches :

Dédié à DABA:

Ma soeur si douce!
Fleur à peine épanouie,
Mais très tôt perdit la vie,
Car voulant la donner

A Ndiar, nymphe des clairs de lune,
Et fille de Coumbam'lamb;
A toutes les filles de Râ,
Génitrices de chaleur.

Ventre en gésine,
Seins palpitants
De naissantes vies.

A l'Afrique-Coeur,
Mon coeur,
Et lumière du monde.

mercredi, 03 décembre 2008

"La France c’est comme une mobylette, pour avancer il lui faut du mélange."

marche des beurs.jpgIl y a 25 ans, le 3 décembre 1983, quelques personnes parties de Marseille le 15 octobre, et des dizaines de milliers d’autres qui les avaient rejoints arrivaient à Paris après un périple de 1.700 kilomètres, dans la liesse et l’espoir d’une reconnaissance de leur identité et de leur volonté d’intégration ... 100.000 personnes accueillent la Marche contre le racisme, rebaptisée "Marche des beurs"

"Est-ce parce que certains en mettent dans le couscous ?" ironise Coluche dans son chmilblik. Mais eux ne rigolent pas. Ils marchent, parlent, expliquent, arpentent les cités, rencontrent les associations, secouent les rares élus qui les reçoivent, et plantent le mot égalité sur le terrain du racisme. Un mouvement est né.

A la bastille ce 3 décembre, on s'enlace, on s'embrasse, on chante "douce France" avec Rachid Taha et le groupe Carte de Séjour, on scande le slogan qui depuis des semaines a ouvert la marche des beurs: "La France, c'est comme une Mobylette, pour avancer, il faut du mélange."

L'histoire a commencé à l'été 1981 à Vénissieux, entre les tours des Minguettes. Dans les banlieues ouvrières, à Lyon comme ailleurs, la crise avec son lot de licenciements et de fermetures d’usines, aggrave les tensions et chasse les habitants. Aux Minguettes sur 9 200 logements, 2 000 à 3 000 sont vides. Alors, les jeunes "rouillent" au bas des tours, s’approprient caves ou appartements vides, et se débrouillent pour vivre. A défaut de travail, ils trouvent d’autres sources de revenus, plus ou moins licites. Mitterrand vient d’être élu, la gauche est au pouvoir et le gouvernement compte quatre ministres communistes. Les révoltes de la banlieue lyonnaise apparaissent alors comme les signes ultimes d’une période révolue. Mais les affrontements entre les jeunes et la police dans les banlieues de l’est lyonnais, médiatisés à travers les fameux "rodéos" automobiles, prennent un tournant politique. En effet, la droite, encore sous le coup de sa déroute électorale de 1981, a décidé de relever la tête en attaquant le gouvernement sur la question de l’immigration et de la sécurité. "Il faut arrêter cette invasion par une véritable politique de l’immigration [...]. Nous demandons l’expulsion des faux étudiants et des délinquants", lit-on par exemple dans les tracts de la liste UDF-RPR à Paris. À Grenoble, d’autres dénoncent les origines arabes du maire, Hubert Dubedout, battu par Alain Carignon au premier tour. Et mars 1983 marque la première percée du Front national dans plusieurs villes : dans le XXème arrondissement de Paris, où Jean-Marie Le Pen recueille plus de 11% des voix, et à Dreux où le RPR René-Jean Fontanille et le FN Jean-Pierre Stirbois présentent une liste commune au premier tour qui rassemble près de 31% des voix.

marche des beurs2.jpgLa haine aussi, qui ne se contient plus : rodéos au pied des tours, jets de pierres, voitures incendiées, policiers à cran qui rôdent, à la recherche surtout de jeunes issus de l’immigration qu’ils considèrent avant tout comme des "délinquants étrangers", et qui ne pardonnent pas au pouvoir socialiste d'avoir aboli la peine de mort, ni les nouvelles dispositions législatives protégeant les étrangers arrivés avant l’âge de dix ans et coupables de petits délits.

Mi mars, juste après les élections, le meurtrier du jeune Ahmed Boutelja de Bron est remis en liberté. Le surlendemain, une imposante descente de police aux Minguettes pour une histoire de recel se transforme en affrontement collectif. Les violences policières mettent le feu aux poudres, et les policiers sont obligés de battre en retraite. Les jours suivants, leurs syndicats se lancent dans une virulente campagne publique, menacent le pouvoir d’"actes d’indiscipline" et exigent "la reprise des expulsions et des peines exemplaires pour les meneurs et leurs complices, des opérations systématiques de police avec de nombreux effectifs équipés de moyens pour le maintien de l’ordre", ainsi que "le quadrillage de la commune".

Dans ce contexte, une douzaine de jeunes décident d’une grève de la faim pour interpeller les pouvoirs publics sur une situation qui peut dégénérer à tout moment. Ils créent l’association SOS Avenir Minguettes et formulent une série de revendications concernant la police ou la justice, mais également la réhabilitation de la ZUP. Sur le terrain, les incidents se multiplient. A quelques jours de la destruction spectaculaire d’une première tour à Monmousseau, le 9 juin, la police fait une descente brutale dans le petit centre commercial et arrête Kamel, un des grévistes de la faim. Le 20 juin 1983, la police intervient de nouveau, elle lâche ses chiens. L'un d'entre eux attaque un jeune garçon. Toumi Djaidja tente d'éloigner l'animal. Un policier tire.

Pendant ce temps, éclate "l’été meurtrier" : Aux quatre coins de France, les crimes racistes se multiplient. Ce sont 19 maghrébins qui sont tués et plus d’une vingtaine blessés. Parmi eux, on dénombre beaucoup de jeunes, touchés par des balles tirées depuis les fenêtres du "Haut-du-Lièvre" à Nancy, des "3000" à Aulnay, des "Francs-Moisins" à Saint-Denis... A la cité "des 4000" de La Courneuve, c'est le drame, un habitant excédé vise un groupe d'enfants avec sa carabine, Toufik, 9 ans, tiré comme un pigeon, tombe au pied de sa barre la veille du 14 juillet. Au "Matin de Paris", les journalistes titrent "L'été des tontons-flingueurs". Un choc pour les jeunes issus de l’immigration qui n'ont que le mot égalité à la bouche. A côtés de ces jeunes se trouvent le père Christian Delorme, celui qu’on appelle le curé des Minguettes, et le pasteur Jean Costil. Surgit l’idée d’une marche sur une inspiration de Martin Luther King ou de Gandhi. . Deux revendications principales : une carte de séjour de dix ans et le droit de vote pour les étrangers

Mais il faut un peu de patience, une initiative d’une telle ampleur, ça s’organise. Les jeunes délèguent l’organisation à la Cimade de Lyon, ainsi qu’au MAN (mouvement pour une alternative non-violente). Christian Delorme et le pasteur Jean Costil obtiendront l’appui des réseaux chrétiens, humanistes et anti-racistes qui avaient permis à leur grève de la faim d’avril 1981 contre les expulsions d’aboutir. Le soutien des protestants, bien représentés au gouvernement, sera aussi particulièrement important pour la suite.

Voilà donc les jeunes de Vénissieux qui rejoignent ceux des quartiers Nord de Marseille. C’est parti. Dans l’indifférence quasi générale. A gauche, on s’en méfie, on les soupçonne même de vouloir gêner le gouvernement de Pierre Mauroy. La marche part de Marseille avec 32 personnes le 15 octobre 1983. Une seule personne, un étudiant les accueille à Salon de Provence, mais quelques jours plus tard, ils sont reçus par un millier de jeunes à Lyon, les partis de gauche appellent leurs militants à rejoindre les marcheurs et quelque soixante-dix associations, partis politiques et organisations syndicales apportent leur soutien. Des comités de soutien sont créés dans toute la France, qui récoltent des dons pour financer hébergement et repas. Bientôt, après les députés et les maires qui les reçoivent, ce sont des personnalités qui font quelques kilomètres avec eux, à commencer par Edmond Maire, le secrétaire général de la CFDT, puis Georgina Dufoix, alors ministre de la Famille, de la Population et des Travailleurs immigrés, Jack Lang, Monseigneur Lustiger ... mais ce sont donc les marcheurs qui décident et qui prennent la parole à chaque étape, davantage sur le mode affectif que politique. Craignant le risque de "récupération", ils interdisent banderoles et slogans jugés trop polémiques.

cependant les racistes ne désarment pas et pendant la marche, dont un des slogans est "Rengainez, on arrive", on apprend coup sur coup l'assassinat d'Habib Grimzi, un jeune algérien en visite chez sa famille à Bordeaux, jeté du train Bordeaux-Vintimille pendant la nuit du 14 novembre, après avoir été torturé par trois jeunes Français en route pour rejoindre la Légion étrangère, le meurtre d’un Maghrébin de 17 ans, tué par balles aux Minguettes, et d’autres incidents, toujours aux Minguettes ... A l’arrivée, 60 000 personnes défilent aux côtés des marcheurs avec les portraits des victimes des crimes racistes et sécuritaires, en scandant "Egalité des droits, justice pour tous", le gouvernement et des élus républicains des deux bords rejoignent en fanfare les marcheurs et 100 000 personnes envahissent la place de la Bastille, sous un beau ciel bleu. Georgina Dufoix, ministre des affaires sociales, assure que de nouvelles mesures contre le racisme vont être prises. Le président Mitterrand reçoit les marcheurs à l’Elysée (sauf, tout de même, les porteurs d’une inscription au casier judiciaire...) pendant trois quarts d’heure et annonce la création prochaine de la carte unique de dix ans pour les étrangers, (en remplacement des cartes de séjour et de travail), et "des mesures de principe pour que justice soit rendue aux jeunes victimes et à leur famille" (limitation des ventes d’armes, possibilité pour les associations de quartier de se constituer partie civile dans les affaires de crimes racistes, etc., mais il se contente de leur dire que le droit de vote pour les étrangers est "une de ses préoccupations". Vers 21 heures, ils reviennent à l’Espace Balard où se déroule une fête. La soirée est douce. Le rêve fou de quelques beurs obscurs et méprisés se transforme en formidable fête républicaine dont ils sont les héros. La "génération beur" vient-elle de naître ? Ils auraient tellement aimé le croire ...

Trois semaines seulement après l’euphorie de la Marche, les affrontements raciaux entre grévistes et non-grévistes à Talbot-Poissy sonnent déjà le glas de l’idylle. Les marcheurs soutiennent les travailleurs immigrés licenciés, signifiant par là-même leur refus de jouer la division entre les enfants, accueillis à bras ouverts au sein de la République, et les parents O.S. virés par milliers des usines.

Le 17 juillet 1984, l’Assemblée Nationale vote à l’unanimité la création d’une carte de résident de dix ans, délivrée "de plein droit" aux étrangers vivant en France. Mais dès le 4 décembre, le décret d’application lui adjoint une série de conditions restrictives, exigeant que les demandeurs fournissent la preuve de leur entrée régulière sur le territoire. En six mois, la principale conquête de la "Marche des Beurs" est venue buter sur la raison administrative, inaugurant vingt cinq ans d’une coexistence amère, et d’une politique d’immigration toujours plus suspicieuse ... jusqu'à mélanger les questions d'identité nationale avec d'autres questions, qui tiennent à l'origine !

mardi, 15 juillet 2008

Le sexisme multi-récidiviste du Conseil Général des Yvelines !

WeCanDoItPoster.jpgVous vous souvenez peut être de la campagne sexiste de juillet 2007 du Conseil général des Yvelines "I love techno" ? Eh bien le Conseil Général des Yvelines présidé par Monsieur (mérite-t-il ce titre ?) Pierre Bédier, persiste encore plus lourdement encore ! Mais pourquoi se gêner, la Ministre Valérie Pécresse n'y avait trouvé rien à redire ...

Cette fois-ci il s’agit de plusieurs visuels destinés aux diplômé(e)s des grandes écoles à coup de jeux de mots sexistes et de mauvais goût qui font penser à un quelconque "Éros center" plutôt qu'à une grande école.

Cette nouvelle utilisation sexiste, vulgaire et ringarde d'une image de femme prouve encore une fois le mépris dans lequel Bédier tient la moitié des habitants de son département !

En effet cette publicité réduit la femme à un objet sexuel, faisant oublier qu’elle a intellectuellement les mêmes capacités que les hommes. Ensuite, elle suggère que les diplômés des grandes écoles sont attirés par les femmes et donc que les diplômés des grandes écoles sont forcément des hommes ! Par cette publicité il contribue à faire perpétuer des préjugés malheureusement largement partagés qui suggèrent que les femmes n’ont pas la même légitimité à faire des études et à diriger des entreprises que les hommes. C’est d’autant plus regrettable que cette publicité s’adresse à des populations comportant de nombreuses personnes en situation de responsabilité, arbitres des promotions des femmes à l’intérieur des entreprises et des administrations.

Cette publicité est également une apologie du viol, puisqu'un de ces slogans suggère "hacke moi si tu peux" or, "hacker" c'est pénétrer par effraction !

Et bien entendu cette campagne est payée par les habitants du département qui, pour moitié, sont des femmes ... mais on saura s'en souvenir avec nos bulletins de vote ! we can do it!

 

Vous voulez voir ces nouveaux visuels ? rendez-vous ici 

Vous avez envie de protester ? Chaque geste compte !

Envoyez votre protestation au président du Conseil Général des Yvelines, Monsieur Pierre Bédier à cette adresse : communication@cg78.fr

ou par courrier (c’est plus efficace) à M. Pierre Bédier, président du Conseil Général des Yvelines, 2 Place André Mignot 78012 VERSAILLES Cedex

Et si ça vous tente, vous pouvez aller faire un tour sur le site des Yvelines. Il a un livre d’or qui ne dit que du bien. Certes, il est modéré … mais si vous voulez y déposer votre avis …

 

Et si vous voulez lire des réactions, allez sur le site de la Meute contre la pub sexiste : celles de 2008 sont en bas de la page ...

 

Serrons-nous les coudes !

mardi, 26 février 2008

Mémoire ...

Reçu ceci d'une copine et comme je trouve que c'est très bon, je me permets de vous le retransmettre :

"Désormais chaque année, à partir de la rentrée scolaire 2008, tous les enfants de CM2 se verront confier la mémoire d'un des 11 000 enfants victimes des lois Sarkozy-Hortefeux contre l'immigration. Les enfants de CM2 devront connaître le nom et l'existence d'un enfant renvoyé par avion dans son pays. Car rien n'est plus émouvant pour un enfant que l'histoire d'un enfant de son âge, qui avait les mêmes jeux, les mêmes joies et les mêmes espérances que lui."

mardi, 12 février 2008

débordée !!!

383308fe9167705573dece660afeb9ac.jpgBlog délaissé pour cause de candidature aux municipales et cantonales ... Ca reprendra un rythme normal le 17 mars ... enfin si je ne suis pas "mairesse" !

En attendant je fais ce que je peux !

02:22 Publié dans militance | Lien permanent | Commentaires (3) |  Facebook | |