dimanche, 15 octobre 2006
Promenade du Soir
Les lampes de l’épicier Karabet sont allumées,
Le citoyen arménien n’a jamais pardonné
Que l’on ait égorgé son père
Sur la montagne kurde
Mais il t’aime,
Parce que toi non plus tu n’as pas pardonné
A ceux qui ont marqué de cette tache noire
Le front du peuple turc.
Nazim Hikmet
(poème partiellement censuré par le ministère turc de la culture)
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