mercredi, 15 novembre 2006
ma vieille boite à chaussures
Je vais souvent sur le blog de papydompointcom qui depuis quelques temps nous fait partager son "carton à chaussures". Framboisine a suivi avec sa boite à chaussures !!!
Coïncidence, ma sœur a récupéré quelques vieilles photos de famille qu'elle a scannées et je les ai récupérées ce week end lors de mon passage à Rome.
Alors je me lance aussi ... Ici, c'est ma grand-mère paternelle vers 1920! Je n'avais jamais vu cette photo et je constate que nous lui ressemblons beaucoup, surtout Geneviève.
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mardi, 14 novembre 2006
Arrivederci Roma
23:05 Publié dans Voyage | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
ACADOMIA recrute !!!
ACADOMIA recrute !!! Quoi, des affreux enseignants du public qui vont faire fortune au lieu de s'occuper bénévolement de leurs élèves? Marie-Ségolène Royal devrait apprendre à se servir d'internet, elle apprendrait ainsi sur le site de l'ANPE qu'en fait cette boite à exploiter les angoisses des parents utilise presque exclusivement des " étudiants en cours de formation", des "demandeurs d’emploi à la recherche d’un emploi d’enseignant " payés au lance pierre … encore une occasion manquée de ne pas dire des bêtises !!!
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lundi, 13 novembre 2006
A Angers, elle s'était encore pris les pieds dans le tapis!!!
01:10 Publié dans chronique à gauche | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
mardi, 07 novembre 2006
« rosa, rosa, rosam »
Ou plutôt les catilinaires … Ce discours célèbre de Cicéron, prononcé le 7 novembre 63 av. J.-C, combien d'élèves a-t-il fait transpirer? Plus de 40 ans après, je me souviens encore de son exorde directe: "Quousque tandem abutere Catilina patientia nostra ? " Jusques à quand, Catilina, abuseras-tu de notre patience ".
J'avoue que j'ai pris un grand plaisir à cette discipline, précisément à cause du côté apparemment « inutile » du latin ! L’art pour l’art, la culture pour la culture, le savoir pour le savoir, la poésie pour la poésie, le luxe quoi !
"De mon temps", on orientait les meilleurs élèves vers le latin, c'est-à-dire vers les études qui étaient considérées comme les plus prestigieuses et qui permettaient de faire toute une série de "carrières", le latin étant obligatoire pour le droit, la médecine, …. En fait, c'était plutôt les enfants des milieux fortunés qui étaient poussés vers ces carrières ... Il y avait donc à l'époque un certain élitisme à faire du latin, remplacé aujourd'hui plutôt par l'allemand ou des langues plus rares qui permettent parfois à nos chérubins de contourner la carte scolaire.
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dimanche, 05 novembre 2006
50 ans que ça dure !!!
Il y a 50 ans, le 5 novembre 1956, la première session extraordinaire d'urgence de l'Assemblée générale des Nations Unies, réunie sous la présidence de M. Rudecindo Ortega pour traiter la crise de Suez, décidait par la résolution 998 de créer la première force de maintien de la paix, la FUNU (Force d'urgence des Nations Unies). Son déploiement dans le Sinaï mettait provisoirement fin au conflit Israélo-égyptien déclenché par la nationalisation du canal de Suez le 26 juillet de la même année.
22:50 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 04 novembre 2006
"Nuages d'automne" meutriers à Gaza
Les enfants de Palestine
De Christian Pierredon
Des enfants sont allés tout près de la frontière
Narguer les militaires par quelques jets de pierre
Pour crier cette haine qu‚ils ont de cette guerre
Et de ces répressions toujours plus sanguinaires
Faisant face à Gavroche la machine militaire
Protège les colonies qui ont pillé leur terre
Les hommes sont puissants, très finement armés
Et sur tous ces enfants, n’hésitent à tirer
On dit de ces gamins mais quelles sont leurs mères
Qui ont laissé leurs enfants aller jeter ces pierres
Sont-elles encore humaines, comment peuvent-elle faire
Pour les laisser ainsi mourir dans cette guerre
C‚est oublier que ces gosses depuis qu‚ils sont nés
Ils n‚ont jamais vécu dans un pays en paix
Leurs dix années sont faites de tant et tant de morts
De maisons écrasées comme unique décor
Dites-moi quel espoir peut naître de ces cendres
De ces années perdues qu’ont-ils donc à attendre
Un jour ils ont assez de cette vie qui gronde
Pour finir ils attachent à leur ventre une bombe
C’est un peuple prisonnier dans son propre pays
Durant toute l’année ils sont à la merci
Des humeurs des geôliers qui leur barrent l’accès
Aux vivres, aux hôpitaux, et à leur dignité
L’olivier, on le sait est un arbre de paix
L’armée sans retenue les a tous arrachés
Comme elle a arraché tous les rêves aux enfants
Il ne leur reste que la rage dans le coeur maintenant
Il faudra bien du temps pour soigner leurs blessures
Car ces enfants meurtris ont perdu leur âme pure
Toi l’enfant, la victime de la folie des hommes
Permets-moi de te dire ce simple mot : shalom.
L'armée israélienne a lancé mercredi une vaste opération contre Beit Hanoun appelée "nuages d'automne" … La plus importante depuis plusieurs, et qui s'annonce déjà très meurtrière.
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vendredi, 03 novembre 2006
A lire
Journal d'un médecin du travail de Dorothée Ramaut, paru aux éditions Le cherche midi en 2006
Le journal tenu par le docteur Dorothée Ramaut, de juin 2000 à mars 2006, est un témoignage unique. Il relate, au jour le jour, de l’intérieur, la vie d’une grande surface et décrit les souffrances subies par ses salariés au nom d’un mode de gestion impitoyable, qui les détruit l’un après l’autre sous prétexte d’ascension sociale puis les rejette, lorsque, épuisés ou révoltés, ils ne peuvent plus le supporter. Jadis, les entreprises licenciaient, aujourd’hui, elles torturent moralement les indésirables pour les pousser à la démission – en réalité, à la maladie. Le docteur Ramaut, scandalisée par ces méthodes qu’elle juge « contraires aux droits de l’homme », et dont elle a failli, elle-même, être victime après avoir tenté de les combattre, est le premier médecin du travail à rompre la loi du silence.
Ce récit met à nu un problème de société qui nous concerne tous. L’impact économique de la santé, de la sécurité et des maltraitances au travail coûterait à la France entre 45 et 70 milliards d’euros par an.
06:05 Publié dans chronique à gauche | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 02 novembre 2006
Senza di te tornavo, come ebbro
non più capace d'esser solo, a sera
quando le stanche nuvole dileguano
nel buio incerto.
Mille volte son stato così solo
dacché son vivo, e mille uguali sere
m'hanno oscurato agli occhi l'erba, i monti
le campagne, le nuvole.
Solo nel giorno, e poi dentro il silenzio
della fatale sera. Ed ora, ebbro,
torno senza di te, e al mio fianco
c'è solo l'ombra.
E mi sarai lontano mille volte,
e poi, per sempre. Io non so frenare
quest'angoscia che monta dentro al seno;
essere solo.
Pier Paolo Pasolini
(1945-1946)
Pier Paolo Pasolini a été retrouvé 2 novembre 1975 sur la plage d'Ostie, assassiné dans des conditions toujours mal élucidées.
23:45 Publié dans poèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 01 novembre 2006
Sous les portiques
20:50 Publié dans rire | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |