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lundi, 20 février 2006

Chevauchée sidérale

 

medium_galaxie.jpg
Poème reçu de Sylvie, la veille du 27ème lancement d'ARIANE 5 ...

 

Chevauchée sidérale

 

A cheval sur ma fusée

Partons pour les galaxies

Cueillir des fleurs étoilées

Dans les nocturnes prairies

 

Adieu, les maisons, les prés

L’HLM et le verger !

 

A cheval sur ma fusée

Partons pour les nébuleuses

Cueillir des pommes dorées

Dans les régions ténébreuses.

 

Adieu, l’école et l’hiver

La rue, le chemin de fer !

 

A cheval sur ma fusée

Partons pour le fond du ciel

Cuellir la roue du soleil

Qui fabrique les années

 

Adieu, les gens qui s’ennuient

Dans la peau couleur de suie !

 

A cheval sur ma fusée

Partons de l’autre côté

Cueillir des chansons nouvelles

Sur des arbres d’étincelles.

 

Adieu, les bruits, la poussière

Et les odeurs de la terre !

 

A cheval sur ma fusée

Partons vers la voie lactée

Cueillir songes et merveilles

Avec des joies sans pareilles .

 

Adieu, chagrins et douleurs

Mal de dents et mal de cœur !

 

A cheval …..

mais attendez

J’en ai trop à raconter

 

On dira ce qu’on a vu

Quand on sera revenus !

 

 

Georges Jean

 

 

 

medium_fusee.jpgMERDE à tous mes anciens collègues, je penserai à vous demain soir en regardant la retransmission du lancement sur internet !!!

 

Pour info à ceux qui viennent sur mon blog, heures du lancement :

KOUROU : De 19h13 à 20h23, le 21 février 2006

GMT : De 22h13 à 23h23, le 21 février 2006

PARIS : De 23h13 à 00h23, le 21/22 février 2006

WASHINGTON : De 17h13 à 18h23, le 21 février 2006

 

On peut suivre la retransmission en direct sur le site d'ARIANESPACE, et même revoir les vols précédents !!!

 

 

 

dimanche, 19 février 2006

Le vers est dans la Pomme

http://www.macgeneration.com/mgnews/depeche.php?aIdDepeche=119769

medium_ver_dans_pomme.gifApple n’a pas perdu l’habitude des gentils clins d’œil aux utilisateurs. La Pomme est même poète à ses heures. Elle a gentiment glissé quelques vers dans le code de Mac OS X pour inciter les hackers à ne pas bidouiller son système pour le faire tourner sur un vulgaire PC, nous apprend OsXProject. Le poème (qui n’est quand même pas une merveille du genre) déclare que détourner Tiger est tentant, certes, mais qu’il faut savoir résister. C’est Maxxuss, un hacker justement, qui l’a découvert. Ça ne l’a d’ailleurs pas empêché de publier de quoi patcher Mac OS X 10.4.4 pour faire, semble-t-il, fonctionner Tiger sur n’importe quel ordinateur animé par une puce Intel.

 

***

 

Le système OS X est notamment compatible avec les puces Intel, utilisées par le système PC rival du fabricant. Le récent passage de Apple -qui n'utilisait auparavant que les puces Power PC d'IBM- à Intel alimente les craintes de voir tout son système piraté et accessible aux PC. AP

 

***

 

Poème anti-pirates

 

"Your karma check for today :

There once was a user that whined

his existing OS was so blind

he’d do better to pirate

an OS that ran great

but found his hardware declined.

Please don’t steal Mac OS !

Really, that’s way uncool.

(C) Apple Computer, Inc."

 

"Votre Karma du jour :

Il était une fois un utilisateur qui se plaignait

Son système d’exploitation existant était si obscure

Qu’il préféra le pirater

Un système d’exploitation qui tournait bien

Mais découvrit que son matériel déclinait

S’il vous plait ne volez pas le système d’exploitation MAC

Vraiment, ce n’est pas cool

Apple Computer Inc. "

 

Rien ne dit que les pirates seront touchés par le lyrisme de la firme de Steve Jobs…

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samedi, 18 février 2006

A visiter absolument !!!

j'adore ce site plein d'illustrations oniriques !!!!

Comprenne qui peut ...

L'Amour et la Folie

 

Tout est mystère dans l'Amour,
Ses flèches, son carquois, son flambeau, son enfance:
Ce n'est pas l'ouvrage d'un jour
Que d'épuiser cette science.
Je ne prétends donc point tout expliquer ici:
Mon but est seulement de dire, à ma manière,
Comment l'aveugle que voici
(C'est un dieu), comment, dis-je, il perdit la lumière;
Quelle suite eut ce mal, qui peut-être est un bien
J'en fais juge un amant, et ne décide rien.

La Folie et l'Amour jouaient un jour ensemble:
Celui-ci n'était pas encor privé des yeux.
Une dispute vint : l'Amour veut qu'on assemble
Là-dessus le conseil des Dieux;
L'autre n'eut pas la patience;
Elle lui donne un coup si furieux,
Qu'il en perd la clarté des cieux.

Vénus en demande vengeance.
Femme et mère, il suffit pour juger de ses cris:
Les Dieux en furent étourdis,
Et Jupiter, et Némésis,
Et les Juges d'Enfer, enfin toute la bande.
Elle représenta l'énormité du cas;
Son fils, sans un bâton, ne pouvait faire un pas:
Nulle peine n'était pour ce crime assez grande:
Le dommage devait être aussi réparé.
Quand on eut bien considéré
L'intérêt du public, celui de la partie,
Le résultat enfin de la suprême cour
Fut de condamner la Folie
A servir de guide à l'Amour.


Jean De La Fontaine

 

 

medium_l_amour_et_la_folie.jpg

 

00:35 Publié dans poèmes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

vendredi, 17 février 2006

Brisons ce silence trop longtemps maintenu !

Le "rôle positif" abrogé officiellement

Un décret du ministre de l'Education abrogeant le deuxième alinéa de l'article 4 de la loi du 23 février 2005 a été publié jeudi au JO.

Le Journal officiel a publié jeudi 16 février un décret, signé du ministre de l'Education nationale et daté de la veille, abrogeant le deuxième alinéa de l'article 4 de la loi du 23 février 2005 sur les rapatriés, qui évoquait le "rôle positif" de la colonisation.

Produit d'un amendement, cet alinéa, qui avait suscité la polémique, stipulait que "les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord, et accordent à l'histoire et aux sacrifices des combattants de l'armée française issus de ces territoires la place éminente à laquelle ils ont droit".

Le 31 janvier, le Conseil constitutionnel a déclassé l'alinéa litigieux sur la colonisation française, en déclarant qu'il avait un caractère "réglementaire" et non législatif. Cette décision ouvrait la voie à la suppression par décret, et sans retour au Parlement, de l'alinéa en question.

Par ailleurs, le 9 février, la section permanente du Conseil supérieur de l'Education (CSE), convoquée pour consultation, avait approuvé jeudi à l'unanimité le projet de décret.

 

***********

 

Je réclame le droit de savoir !

medium_esclave_noir.jpgChaque année depuis 1990, le Mémorial de Caen, le Barreau et la Ville de Caen, organisent un Concours International des Droits de l’Homme. Chaque année, ce sont ainsi plus de 1 500 jeunes, originaires de la France entière, qui prennent position pour des causes réelles d'atteinte aux Droits de l'Homme.

Lors du 9e Concours lycéen sur les Droits de l’Homme du vendredi 27 janvier 2006, Aurélie Janice Bayimbi, lycéenne du Lorrain (Martinique) a remporté le premier prix avec une plaidoirie intitulée "Brisons ce silence trop longtemps maintenu ! "

 

Cliquez ici pour voir la vidéo

 

La plaidoirie en texte

"Tout commence durant un cours d’histoire. Les élèves et leur professeur échangent avec ferveur, car le thème est passionnant : en effet, il s’agit de la mondialisation. Très vite s’élèvent pêle-mêle la découverte des Amériques, le commerce triangulaire et aussi naturellement la colonisation et la servitude. Le débat s’enflamme et glisse inexorablement sur la vision d’une Afrique qui a avorté d’infinies possibilités du fait de la déportation des millions d’Africains qui sont nos ancêtres.

Chacun y va alors de sa théorie ! « Finalement, la colonisation, ce n’est pas si intolérable que ça puisque maintenant on est civilisé. » Ou encore : « Ah non ! Je ne suis pas un Africain moi ! Je ne vis pas en brousse ! » Tous s’enfoncent dans le gouffre de l’ignorance historique, expliquant le manque de rigueur scientifique de leurs propos. Et c’est au coeur de cette confusion générale que le temps s’est suspendu pour moi, car elle a dit : « Ah non, je ne suis pas noire ! T’as pas vu que ma peau est moins foncée que la tienne ? ! »

Mesdames et messieurs, vous comprenez l’effroi qui me saisit devant une telle répulsion pour son être. Car il s’agit bien d’une jeune fille martiniquaise qui s’exprime ainsi. Se défend presque, comme agressée. Et pourquoi donc ? Parce qu’un de ses camarades, sans doute trop conscient de qui il est réellement, l’a qualifiée de « belle négresse ».

Honte de ses origines. Honte d’être noire. Honte de descendre d’Africains. Complexe d’infériorité. Manipulation. Trouble identitaire. Aliénation de la réflexion. Assimilation à deux revers. Tel est pour moi l’écho des dires de cette adolescente. Tels sont pour moi les traumatismes dus au « silence des aïeux ». Le silence qui enfouit tout ! Qui ne guérit rien ! » D’abord celui de l’impossible parole des traumatisés ! Sauvagement déracinés, les déportés africains furent, dès leur arrivée en Martinique, dépossédés d’eux-mêmes ! Des familles entières furent disloquées. Plongées dans un monde créolisé, les réduisant à un mutisme forcé qui déstructura leur être. Plus de transmission de la mémoire et des traditions ! Plus de mots pour exprimer la douleur !

L’esclavage rompit tout contact culturel, bâillonnant l’esclave au moyen de ses propres cris réprimés. Mais le silence a surtout été imposé par l’État colonial ! Stratégie politique cynique ou revirement humaniste ?

J’estime qu’il est vain d’essayer de trancher car l’assimilation qui suivit l’abolition de l’esclavage, en 1848, est tout cela à la fois : une assimilation à deux revers. L’une des premières mesures de la Seconde République est d’abolir l’esclavage dans les colonies.

Le décret d’application de la loi Schoelcher du 27 avril est prêt : dans un délai de deux mois, aucune colonie française ne portera plus d’esclaves.

« Il n’y a plus parmi nous de libres, ni d’esclaves. La Martinique ne porte plus aujourd’hui que des citoyens », proclama Rostoland, le 23 mai 1848, alors futur gouverneur de la colonie.

« Je recommande à chacun d’oublier le passé. »

Entendez par là, mes chers, que les esclaves, en devenant citoyens français, n’avaient plus d’histoire spécifique.

La République poursuit ainsi sa stratégie de l’oubli forcé !

Au nom de la réconciliation, les nègres marrons et les esclaves insurgés du 22 mai, à qui on doit la liberté effective et sans condition, sont amnistiés ! La France accorda ainsi son pardon aux esclaves pour l’insurrection du 22 mai au lieu de reconnaître l’esclavage comme un crime commis envers eux. Ce n’était pas la violence de la période esclavagiste mais la violence exprimée au moment de l’abolition qu’il fallut oublier pour rétablir la paix sociale.

Le silence sur la période esclavagiste s’accompagna du silence sur l’héroïsme des esclaves !

Si bien que de l’abolition de 1848, on ne retint ainsi que l’idéologie shoelchériste, le mythe du sauveur blanc, de la France émancipatrice et miséricordieuse. La vérité fut honteusement passée sous silence, la réalité historique déformée et instrumentalisée par l’État.

On notera surtout comme finalité de ce mutisme imposé, le maintien de la structure économique où les intérêts des anciens maîtres et de la France métropolitaine passent avant tout.

Je cite : « La liberté n’est pas le droit de vagabonder, mais bien celui de travailler pour vous-mêmes (...). Mes amis, soyez dociles aux ordres de vos maîtres pour montrer que vous savez qu’il n’appartient pas à tout le monde de commander. »

Il est évident que l’on passe d’un capitalisme esclavagiste à un capitalisme où le colonisé devient un travailleur, certes, mais rémunéré en fonction de son assiduité. Il est traité en fonction d’un passé esclavagiste qu’on lui demande par ailleurs d’oublier. On le prive, je cite, « du temps de la gestion mentale du bouleversement social lié en mai 1848. Il n’a ni le temps du deuil ni celui de la jouissance. Seul celui de continuer de travailler pour ces anciens maîtres lui est accordé. »

C’est alors plein d’espoir que l’on se tournerait vers l’école pour l’éradication d’une aliénation culturelle et historique. Mais il faudrait se contenter d’une simple répétition de l’histoire coloniale en marche, car l’école républicaine fut le haut lieu de l’exécution de l’âme martiniquaise !

Les bienfaits de la colonisation y furent enseignés aux écoliers comme on apprend le Notre-Père par coeur, sans même savoir l’écrire ! Alors que, et je me permets de citer Césaire, la colonisation fut synonyme de « cultures piétinées, de terres confisquées, d’extraordinaires possibilités supprimées », notamment avec l’instruction systématique en français, langue alors dite de prestige et de promotion sociale, qui relégua le créole au rang d’idiome vulgaire, reflet d’un passé honteux. Les petits Martiniquais ne reçurent donc aucun enseignement de l’histoire de la Martinique, noyés dans le Rhône et la Garonne et savamment ridiculisés, je l’avoue, par les casques de fer et les mèches blondes de leurs prétendus ancêtres les Gaulois.

Sous la houlette des grands créoles, du clergé et des enseignants, le chaos identitaire issu d’une francisation exacerbée et aliénante fonctionna à merveille.

Aujourd’hui encore, l’omniprésence de l’esclavage dans les esprits persiste. Cent cinquante-sept ans plus tard, le crime est toujours intact et les traumatismes engendrés par les mécanismes sévissent.

Le Martiniquais continue de développer un complexe d’infériorité évident. Le père, réduit au rôle de géniteur du temps de l’esclavage, reproduit ce schéma dans la structure familiale actuelle, où il est déresponsabilisé, au profit de la femme dite « poto-mitan » de la société.

Les critères esthétiques influencés par le modèle de type européen qui exalte la finesse des traits, la blancheur de la peau poussent encore le Martiniquais à vouloir « blanchir sa race », « chaper la peau », comme on dirait en créole. Le Martiniquais en vient à renier ses origines, parfois sa culture et même sa langue.

Il a encore honte de sa peau. De lui-même. D’être noir.

L’acquisition de connaissances quant à la période esclavagiste est donc cruciale pour que les langues se délient et que les traumatismes soient dépassés et vaincus. Or, les programmes d’histoire actuels n’y pourvoient pas ! La reconnaissance de l’histoire des Antilles, de la traite négrière et du système esclavagiste, comme matière à part entière, est donc absolument indispensable : pour un dépassement de la haine, pour une réelle conscience historique, et surtout, pour combattre les manoeuvres des institutions scolaires qui visent à redorer le blason des puissances coloniales et à anoblir l’esclavage. Notamment par la loi sur le discours positif sur le colonialisme. Et cela au mépris de la vérité scientifique et de la reconnaissance par l’État de l’esclavage comme crime contre l’humanité.

Au nom de tous et en tant que lycéenne d’origines antillaise et africaine, engagée dans une construction cohérente de ma personne, je réclame la mise en place de dispositions nécessaires quant à un réel enseignement de notre histoire.

Je réclame « le soleil de la conscience ».

Je réclame le droit de savoir !"

Par Aurélie Bayimbi, du Lycée Pernock-le-Lorrain (Martinique)

jeudi, 16 février 2006

"Le sel vient du nord, l'or du sud et l'argent de la terre des Blancs, mais le royaume de Dieu, les choses illustres, les histoires et les contes de fées nous les trouvons seulement à Tombouctou." (Proverbe soudanais du XVIe siècle)

medium_masque_de_danse_dogon.jpgEt à Tombouctou, le Nord blanc rencontre le Sud noir …

 

Pour les Dogons des falaises nigériennes de Bandiagara, avant le commencement des choses apparaît Amma. Amma, dieu créateur, omnipotent et immatériel, lance le système planétaire, boulettes de terre transformées en étoiles que les femmes, par la suite, cueilleront au ciel pour les remettre à leurs enfants.

Amma fait le soleil-femelle, la lune-mâle, et la terre, boudin de glaise qu'il a serré dans sa main et qui, dans l'espace, s'étale, gagne au Nord, s'allonge au Sud, s'étend à l'Orient et à l'Occident, étire sa chair, sépare ses membres, comme le ferait un fœtus dans la matrice. La terre devient une femme, à plat dos, orientée Nord-Sud.

 

Source : http://classes.bnf.fr/dossiecr/my-afriq.htm

 

 

Est-ce la raison de l'orientation nord-sud des togounas?

 

 

En tous les cas la question de Slanka m'a incitée à regarder d'un peu plus près ce peuple Dogon, et j'ai ainsi trouvé sur internet quelques sites que je vous invite à découvrir !!!

- sur l'artisanat africain (masques, …) avec de belles photos de masques

- des photos sur l'Afrique

- un site sur l'art et les coutumes africaines, avec de nombreux liens vers d'autres sites

 

Et surtout un document très intéressant sur l'astronomie dogon

 

La musique de Mory Kante


podcast

Et un proverbe dogon : "Un seul pied ne crée pas le chemin "

 

mardi, 14 février 2006

Message perso ...


podcast

Traditions...

Avec l'arrivée du printemps, les coeurs se réchauffent, la nature se réveille...Le 14 février est le jour de la fête des amoureux...

Au Moyen Âge, ce jour là les jeunes filles essayaient de deviner comment serait leur futur mari : Si elles voyaient un rouge-gorge, elles se marieraient avec un marin, un moineau signifiait un mariage heureux, mais avec un homme peu fortuné, tandis qu'un chardonneret indiquait un mariage avec un homme riche. Au fait, il me semble avoir vu ou entendu des oiseaux...

source : http://www.lescale.net/valentin/histoire.html

 

Alors, un marin ?

 

medium_rouge_gorge.2.jpg



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un amoureux désargenté ?

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ou un riche prétendant ?

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mardi, 07 février 2006

Une idée à exploiter !!!

medium_togouna0.jpgSavez vous ce qu'est un togouna? Au pays des Dogons, cela signifie espace de dialogue, de réflexion et d’échanges. En fait c'est aussi le nom de la construction qui abrite les discussions des sages du village, où sont débattus les sujets d’intérêt collectif. La "case à palabres" occupe toujours une position stratégique. Orientée dans le sens nord–sud, elle a des formes diverses: carrées, rondes, rectangulaires, losangiques, etc.

medium_togouna2.jpg

 

Elle est constituée de 8 piliers en bois sur lesquels reposent jusqu'à huit couches de chaume. Le nombre 8 fait référence au nombre des premiers ancêtres dogons. Des symboles dogons sont sculptés sur les piliers. L’unique mobilier, pour s’asseoir ou s’allonger, consiste en de grosses pierres ou des planches posées à même le sol.

 

 

 

 

 

 

Mais pourquoi, me direz-vous, est-ce que je m'intéresse aus togounas? eh bien parce que le plafond y est volontairement bas, à environ 1,20m du sol, pour que les hommes y règlent les problèmes assis, et si l'un d'entre eux vient à s'emporter en se levant pour mieux se faire entendre, il est rapidement calmé en se cognant le crâne au plafond. Gare donc aux coléreux...

Une idée à exploiter !!!

 

dimanche, 05 février 2006

Bouteille à la mer ou poubelle à la mer?

Un marin américain qui avait jeté quelques bouteilles à la mer avec des messages et son adresse l'été dernier a eu un choc récemment en recevant un paquet en provenance d'Angleterre contenant l'une de ses bouteilles.

Le capitaine Harvey Bennett, 55 ans, qui vit à Long Island, près de New York avait lancé cinq bouteilles à la mer en août 2005, en espérant qu'elles seraient découvertes sur des rivages lointains.

Mais en lisant la lettre qui accompagnait la bouteille l'excitation du capitaine Bennett s'est rapidement transformée en douche froide, selon le journal local East Hampton Star.

La missive signée Henry Bigglesworth de Bournemouth (Dorset, sud de l'Angleterre) disait: "J'ai récemment trouvé votre bouteille en me promenant au bord de la mer sur la plage à Poole Harbour. Il est possible que vous considériez tout ceci comme une expérience importante sur le parcours et la vitesse des courants océaniques. Mais moi je considère que cela revient à balancer des ordures".

Et pour enfoncer le clou l'irrascible anglais terminait: "Vous les Américains, vous n'êtes jamais content tant que vous ne mettez pas la pagaille quelque part".

Bennett, qui s'affiche volontiers comme un spécialiste des bouteilles à la mer, a confié au journal que c'est la première fois qu'il recevait une réponse de ce genre. (AFP) -

 

Les photos viennent du site "bleu planète"