mardi, 29 août 2006
Ah, si Pluto s’appelait Wimpy le hamburger !!!
Pluton (Pluto en latin et en anglais …), la seule planète découverte par un américain, Clyde Tombaugh, a été déchue la semaine dernière de son statut, et rétrogradée au rang de sous-planète-naine car elle n’a pas "une masse suffisante pour que sa gravité l'emporte sur les forces de cohésion du corps solide et la maintienne en équilibre hydrostatique, sous une forme presque sphérique". Un comble pour un pays où l’obésité est une catastrophe nationale... Souhaitons que Bush, au discours résolument plutonien, n’envoie pas les membres de l'Union astronomique international dans les abîmes du Tartare et ne demande pas à ses Marines de leur faire subir de nombreux supplices !
Au fait, comment les astrologues vont-ils faire maintenant leurs thèmes astraux avec une planète qui répond aux abonnés absents ?
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mardi, 22 août 2006
Retour de vacances
Bizarre d’écrire ça alors que je ne travaille plus, mais un été entier à la campagne, un bail que ça ne m’était pas arrivé ! et …
J’ai fait la chasse (photographique) aux papillons, et sous le prétexte de faire des tas de photos avec mon bel appareil tout neuf, j’ai acheté des baskets et renoué avec la marche à pied,
J’ai cueilli des prunes et des mures, j’ai pris mes repas assise, sur une table « mise », à des heures (presque) fixes, et … j’ai même fait des tartes et des confitures, mais j’ai aussi pris 3 kilos malgré la marche à pied !
Je me suis couchée avant le lever du soleil (sauf le jour de la fête de mon petit village du Lot …), je me suis levée tard et je faisais encore 2 heures de sieste, sans doute l’effet de la marche à pied ?
Au bout d’une semaine, je suis arrivée à ne plus chercher une borne wifi à chaque coin de rue, et en rentrant de vacances, j’ai même attendu 2 jours avant de recommencer à me shooter avec internet,
J’ai bavardé sur une brocante avec d’autres retraités débordés qui, eux aussi, avaient décidé de faire un break, j’ai acheté un lit d’enfant ancien et une vieille chaise haute pour mes deux petites puces,
J’ai dansé à la fête du village et j’ai gouté le (très bon) rosé que fabrique mon voisin, j’ai regardé des émissions débiles sur la télé qui ne fonctionne plus qu’en noir et blanc, je suis allée écouter un concert de clarinette, et j’ai vu « l’enlèvement au sérail » en plein air, même qu’on m’a vu en photos sur le canard local !
J’ai raté la réunion du blogouvernement à Bazoches mais j’ai fait un pèlerinage à Montcuq,
Et encore plein de choses que l’on ne peut pas tout raconter !
Et je suis revenue avec des tas de souvenirs, et des tas de photos pour me les rappeler quand ma mémoire sera partie …
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mardi, 23 mai 2006
écoute s'il pleut
Il s’agit d’un extrait de "du coton dans les oreilles" in Calligrammes, section "Obus couleur de lune", envoyé à Madeleine le 11 février 1916 par Guillaume Apollinaire.
***
Ecoute-s'il-pleut [ekute sil plÆ ] n. m. inv. - XVIIe siècle, pour un moulin ; XIXe siècle, au sens de "promesse illusoire".1. Vieilli et rare. Moulin à eau installé sur un ruisseau de faible débit et dont le réservoir ne s'emplit que lorsqu'il pleut.-- 2. fig. Personne timorée que la moindre difficulté arrête.
"Escota si plau" (écoute s'il pleut) est une vieille expression béarnaise ironique qui vient du temps où les moulins à eau jouaient un rôle important dans les villages. On l'utilisait pour se moquer des meuniers qui, souvent, attendaient désespérément la pluie pour pouvoir se mettre au travail.
Mais cette expression semble avoir fait le tour de la France. Rien que dans la région parisienne, on trouve à Bondoufle dans l' Essonne le ru "L'écoute s'il pleut", fossé de drainage qui aurait été creusé au 18ème siècle et était encore qualifié de grand fossé et mentionné sur le cadastre de 1933. Aujourd'hui il a gardé sa fonction de drainage, mais on peut difficilement le voir en marchant dans la ville nouvelle car son tracé ayant été modifié par l'urbanisme est très souvent souterrain … il a donné son nom à un boulevard d'Evry
Au Plessis-Robinson, on trouve également une rue de l'étang de l'écoute s'il pleut. D'Artagnan, qui y avait un château, y aurait fait construire cet étang, au 17ème siècle, pour alimenter des fontaines. Mais l'étang était mal alimenté et souvent à sec. Il n'échappa point à la moquerie des gens et fut baptisé ainsi avant d'être finalement asséché, au milieu du 20ème siècle
Et près de chez moi, à Voisins le Bretonneux, une rue porte aussi ce nom.
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samedi, 20 mai 2006
"HONNEUR A NOTRE ELU"
Le mât (ou “Mai”) était un pin, soigneusement ébranché, sauf un petit plumet quelques branches. Une fois l´arbre prêt, les hommes de la commune dressaient le mât devant le domicile de chaque élu, une véritable épreuve de force qui requérait de la force, du savoir-faire et de la précision. C´était l´occasion de faire la fête, au son de la fanfare, avec tous les villageois venus les soutenir moralement.
L´arbre de mai enfin dressé, il ne nous restait plus qu´à aller fêter l´événement autour d'un gigantesque repas
Cette tradition s'est-elle perpétuée?
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dimanche, 26 mars 2006
Ma première coccinelle et mes premières violettes…
Crevée et crottée!!! F a préféré rester tranquille chez lui aujourd'hui pour se reposer après sa dure journée d'hier et j'ai fait un peu la grimace ce matin, mais finalement je viens de me payer deux heures de pur plaisir!
J'avais ouvert la porte du salon pour qu'Elise (ma chienne) puisse sortir, je l'avais suivi sur la terrasse car le soleil commençait à percer. Comme à mon habitude, j'attrape souvent un sécateur quand je sors au jardin : une branche qui dépasse par ci, une fleur fanée par là … il faut dire que mon jardin avait bien besoin d'un grand nettoyage. Je n'avais pas prévu de m'y mettre aujourd'hui, mais finalement, je me suis bientôt retrouvée les pieds dans les platebandes en train de tailler, désherber, éclaircir …
Bien sûr comme d'habitude, je n'étais pas en tenue ad hoc, j'avais gardé mes chaussures "de ville", j'ai failli déchirer mon plus beau pull, mais de toute façon je me suis vite retrouvée en nage et en "marcel".
J'achète régulièrement des revues de jardinage, ça me coûte une fortune, et pourtant je ne respecte jamais leurs prescriptions. Je jardine à l'instinct, ce qui me vaut bien sûr des échecs, mais aussi le plus souvent des succès. Cette première après midi de jardinage de l'année permet donc toujours des surprises … les rosiers, achetés il y a 3 ans à la journée des plantes d'Auffargis, et qui ne voulaient pas pousser, ont l'air d'avoir enfin de la vigueur, et il y en a même deux qui commencent à partir vaillamment à l'assaut de la clôture; les deux hibiscus sont bien morts malgré mes soins, mais l'un des deux a fait un rejeton et j'aurai peut être la surprise de découvrir cet été lequel a une descendance. Bien sûr la nouvelle pousse est mal placée, il faudra donc que je la déplace, ou ce qui est plus probable, que je modifie encore les plans de mon jardin! Et puis les violettes commencent à fleurir mes platebandes, et même la pelouse. Elles ne sentent rien, elles sont envahissantes; mais tant pis, c'est si joli!
Mon jardin est à mon image, instinctif, boulimique, exubérant. Je suis incapable de le discipliner, je n'aime pas supprimer, sauf quand le cas me semble désespéré, et encore … ainsi le ceanothe que je croyais mort depuis 2 ans a fait quelques bougeons et va même fleurir … j'ai bien fait de lui laisser encore une chance avant de le détruire; je l'avais ratiboisé, cela l'aurait-il sauvé? Je fais pareil avec les "mauvaises" herbes, j'attends de voir si c'est joli avant d'arracher ce que je ne connais pas, et j'ai parfois de bonnes surprises que je garde …
J'avais gardé dehors mes hibiscus, mes bougainvilliers et mon kumquat car ils avaient pris trop d'ampleur pour les rentrer, ceux que j'avais ramenés d'Italie dans mon déménagement ont l'air d'avoir supporté le froid, mais pas ceux achetés en pépinière en France. Finalement je suis contente que ces boutures italiennes aient résisté, j'aurais regretté de perdre ces souvenirs ….
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samedi, 18 mars 2006
Histoire d'eau
Le Forum mondial sur l'eau se tient à Mexico du 16 au 22 mars et Action contre la faim veut que l’on s’interroge sur une réalité : "Pourriez-vous vivre avec 5 litres d’eau par jour?". Samedi, à Paris et dans 5 villes de France (Brest, Bordeaux, Lille, Lyon et Montauban), seront organisés de grands rassemblements afin de rappeler la grande inégalité qui existe dans l’accès à une eau potable en quantité et de qualité suffisante. L’idée : créer un "choc visuel". Des dizaines de seaux seront posés sur une immense bâche, d’un côté les 600 litres consommés en moyenne par un Américain, les 150 litres consommés par un Français, … et de l’autre côté les 5 ou 10 litres consommés par un Ethiopien ou encore un Afghan.
Dans nos pays civilisés nous faisons couler cette eau sans restriction dans nos cuisines et nos salles de bain, nous l'utilisons pour arroser nos plantes ou laver nos voitures, souvent nous la gaspillons jusqu'à ce que des épisodes de sécheresse viennent nous rappeler que c'est un bien précieux qu'il fait préserver.
Du plus loin que je me souvienne, nous avons toujours eu l'"eau courante" et les "commodités" à la maison. Mais je me souviens de la maison de mes grands parents paternels où l'eau n'arrivait que dans la cuisine. La "salle de bain" était une petite pièce avec une bassine et un broc, et mes grands parents allaient donc se laver aux "bains-douches" municipaux, jusqu'à ce que, sous la pression de mon père et de mes oncles, ils se décident à faire installer une baignoire! Dans les campagnes, ces commodités sont arrivées encore plus tard, et nous avions des copines de classe, sûrement plus fortunées que nous, qui n'avaient toujours pas l'eau courante à l'intérieur de leur maison au milieu des années 60, et ceci pourtant dans de riches propriétés viticoles, des "châteaux" à quelques kilomètres de Bordeaux. Quand j'avais onze ans, du fait de l'absence de mes parents j'ai été quelques mois pensionnaire, et nous nous lavions dans un bidet, derrière un rideau. Durant ces quelques mois, je n'ai pas dû prendre un seul bain ou une seule douche, sauf les week end où j'allais chez mes grands parents maternels.
Bien que nous fussions une famille aisée et plutôt moderne, mes parents ont acheté leur première machine à laver en 63 ou 64, et encore nous n'y lavions pas les grosses pièces de "blanc". A cette époque, nous avions une employée, Madame Matthieu, qui venait deux fois par mois pendant 3 jours faire la grande lessive : une journée pour le trempage, une journée de lavage puis une dernière journée pour le rinçage et le "tordage" du linge pour lequel elle mettait toute la famille à contribution.
J'ai toujours connu Madame Matthieu; avant de venir chez nous et chez mes oncles et tantes, elle travaillait déjà chez mes grands parents. C'est sans doute parce que nous l'avions comme laveuse que mes parents ont tardé un peu pour acheter une machine à laver.
Le premier jour, elle mettait les draps, les nappes et les serviettes dans un grand évier dans la buanderie au sous sol de la maison. Elle attrapait ensuite chaque pièce de linge pour la frotter avec une brosse de chiendent sur une planche en bois. L'eau était froide et ses main rapidement violacées. Elle disposait au fur et à mesure le linge décrassé dans une grande lessiveuse, sortes de récipient en tôle galvanisée, muni d'un couvercle, où l'on faisait bouillir le linge en le disposant autour d'un tube central avec un embout en forme de champignon qui permettait une sorte d'arrosage automatique.
Le lendemain la maison ressemblait à un sauna. Avec ma mère, elle hissait la lessiveuse sur une cuisinière, puis la remplissait d'eau, un seau, deux seaux... sans doute une dizaine. Les lessives "tide" ou "ariel" existait déjà depuis quelques années et d'autres marques faisaient leur apparition, mais à la maison on continuait à acheter en pharmacie du perborate de soude pour blanchir - une célèbre marque, Persil, en a d'ailleurs gagné son nom (pour Perborate et Silicates) - et du bicarbonate de soude pour assouplir …
Puis, comme un volcan, la lessiveuse se mettait en activité et bouillait pendant des heures. Comme un jeyser, des jets bouillants sortaient du champignon central de la lessiveuse et éclaboussaient la cuisinière. L'odeur de lessive s'infiltrait partout, et une sorte de brouillard remplissait tous les étages. Madame Matthieu en profitait pour faire quelques travaux de couture, et ce jour là elle avait le droit à une petite pose pour le goûter. En fin d'après midi, il fallait encore pousser la lessiveuse sur le côté, mais il fallait attendre le lendemain pour descendre la lessiveuse encore chaude.
Tôt le matin du troisième jour, Madame Matthieu empoignaient la lessiveuse et la descendaient avec précaution de la cuisinière, aidée par ma mère. Puis de nouveau elle brossait, savonnait, pétrissait, malaxait …Au rinçage, elle lançait chaque pièce comme un filet de pêcheur, le reprenait, le relancait pour bien extraire toute la lessive des fibres puis expédiait chaque pièce avec dextérité sur des tréteaux où elle s'égoutait un peu.
Puis venait l'essorage, auquel nous participions tous. Il fallait travailler à deux : nous prenions chacun une extrémité du drap et debout, les jambes bien campées, nous le tordions, les mains cramponnées au tissu qui nous échappait. Nous faisions naître des cataractes d'eau, puis quand le drap était bien essoré, l'un de nous criait "Attention je lâche" et la toile se dévissait puis nous secouions le drap en son milieu pour le défroisser un peu. Ensuite il fallait encore sortir le linge au jardin, puis l'étendre en évitant les plis qui ne partiraient plus au repassage ...
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lundi, 27 février 2006
Passer l'hiver à Rome, le printemps en France ...
Ce matin, j'ai trouvé la première pâquerette de l'année dans ma pelouse. Chic, le printemps revient! Déjà les perce-neige sont en fleur, mais les pâquerettes, ça, c'est la fin de l'hiver pour moi !!!
Je n'aime pas trop l'hiver, le manque de lumière sans doute, du moins ici … Parce qu'à Rome, en hiver la lumière est magnifique en fin d'après midi et donne à la ville une belle couleur ocre.
Lorsqu'ils venaient pour la première fois, j'aimais amener mes visiteurs vers 17h sur les hauteurs du Janicule, pour découvrir la ville "de haut" depuis la piazzale Garibaldi et l'allée bordée par les bustes garibaldiens. Avec un plan à la main, je leur montrais tous les monuments de la ville, avec bien sûr celui à mon avis le plus laid, mais le plus présent "visuellement", dédié à Vittorio Emanuele et surnommé par les romains "la machine à écrire"!
J'ai encore mon vieux plan, tout déchiré et rafistolé, mais je n'ai jamais pu en trouver un plus pratique.
Une autre caractéristique "climatique" de l'hiver à Rome, ce sont les orages violents. Pour moi, je ne concevais les orages qu'en plein été dans le sud-ouest, vers 22h après une journée de canicule. A Rome, je n'ai jamais eu de tels orages en été, par contre je me souviens de retours épiques vers ma maison de Rocca di Papa l'hiver juste après la tombée de la nuit, avec des éclairs qui illuminaient les hauteurs des castelli comme en plein jour et des torrents de boue qui dévalaient la route, ou encore de la foudre tombée sur l'église Sainte Agnès vers 17h une veille de Noël et du paratonnerre devenu tout d'un coup rouge vif !
Mais pour en revenir au printemps, c'est une saison qui m'a manqué lorsque j'habitais à Rome; la végétation passe trop brutalement de l'hiver à l'été. En fait l'hiver là bas est trop vert, il y a trop d'arbres qui ne perdent pas leurs feuilles et on ne voit pas bien cette montée de sève et l'éclatement soudain des bourgeons, ces couleurs jaunes ou rose tendre qui ponctuent tout d'un coup la campagne. La différence était flagrante lorsque je venais en déplacement en France pour quelques jours en mars ou avril ! mais bien vite à mon retour en Italie, ma nostalgie s'effaçait devant le ciel toujours bleu ...
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mercredi, 22 février 2006
Which flower are you ?
En butinant de blog en blog, j'ai trouvé le quizz Which Flower are You? (il est en anglais) de Quizilla. Résultat pour moi : une rose …
désir, passion, beauté et enchantement … tout moi, ça !!!
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dimanche, 19 février 2006
Le vers est dans la Pomme
Apple n’a pas perdu l’habitude des gentils clins d’œil aux utilisateurs. La Pomme est même poète à ses heures. Elle a gentiment glissé quelques vers dans le code de Mac OS X pour inciter les hackers à ne pas bidouiller son système pour le faire tourner sur un vulgaire PC, nous apprend OsXProject. Le poème (qui n’est quand même pas une merveille du genre) déclare que détourner Tiger est tentant, certes, mais qu’il faut savoir résister. C’est Maxxuss, un hacker justement, qui l’a découvert. Ça ne l’a d’ailleurs pas empêché de publier de quoi patcher Mac OS X 10.4.4 pour faire, semble-t-il, fonctionner Tiger sur n’importe quel ordinateur animé par une puce Intel.
***
Le système OS X est notamment compatible avec les puces Intel, utilisées par le système PC rival du fabricant. Le récent passage de Apple -qui n'utilisait auparavant que les puces Power PC d'IBM- à Intel alimente les craintes de voir tout son système piraté et accessible aux PC. AP
***
Poème anti-pirates
"Your karma check for today :
There once was a user that whined
his existing OS was so blind
he’d do better to pirate
an OS that ran great
but found his hardware declined.
Please don’t steal Mac OS !
Really, that’s way uncool.
(C) Apple Computer, Inc."
"Votre Karma du jour :
Il était une fois un utilisateur qui se plaignait
Son système d’exploitation existant était si obscure
Qu’il préféra le pirater
Un système d’exploitation qui tournait bien
Mais découvrit que son matériel déclinait
S’il vous plait ne volez pas le système d’exploitation MAC
Vraiment, ce n’est pas cool
Apple Computer Inc. "
Rien ne dit que les pirates seront touchés par le lyrisme de la firme de Steve Jobs…
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jeudi, 16 février 2006
"Le sel vient du nord, l'or du sud et l'argent de la terre des Blancs, mais le royaume de Dieu, les choses illustres, les histoires et les contes de fées nous les trouvons seulement à Tombouctou." (Proverbe soudanais du XVIe siècle)
Et à Tombouctou, le Nord blanc rencontre le Sud noir …
Pour les Dogons des falaises nigériennes de Bandiagara, avant le commencement des choses apparaît Amma. Amma, dieu créateur, omnipotent et immatériel, lance le système planétaire, boulettes de terre transformées en étoiles que les femmes, par la suite, cueilleront au ciel pour les remettre à leurs enfants.
Amma fait le soleil-femelle, la lune-mâle, et la terre, boudin de glaise qu'il a serré dans sa main et qui, dans l'espace, s'étale, gagne au Nord, s'allonge au Sud, s'étend à l'Orient et à l'Occident, étire sa chair, sépare ses membres, comme le ferait un fœtus dans la matrice. La terre devient une femme, à plat dos, orientée Nord-Sud.
Source : http://classes.bnf.fr/dossiecr/my-afriq.htm
Est-ce la raison de l'orientation nord-sud des togounas?
- sur l'artisanat africain (masques, …) avec de belles photos de masques
- un site sur l'art et les coutumes africaines, avec de nombreux liens vers d'autres sites
Et surtout un document très intéressant sur l'astronomie dogon
La musique de Mory Kante
Et un proverbe dogon : "Un seul pied ne crée pas le chemin "
13:35 Publié dans Bavardage, Voyage | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |