vendredi, 06 février 2009
Arrêter Facebook
Arrêter Facebook®, que ce soit immédiatement ou progressivement, en réduisant ses connexions au site, est une aventure semée d'embûches, un défi personnel à relever chaque jour. Pour réussir cette aventure, il faut se préparer, s'informer, franchir des étapes, et savoir se faire aider pour surmonter les difficultés rencontrées au quotidien.
Facecorette est un patch qui s'applique très facilement et se décolle sans douleur. Il sera en vente très bientôt dans tous les bons télé-achats.
Facecorette a pour but de vous aider et de vous accompagner tout au long de votre aventure personnelle.
- Calculer son degré de dépendance,
- Faire connaître Facecorette à un ami,
- Calculer son degré de motivation,
- Quelques astuces pour nous aider,
C'est sur le site http://atou.eu/facecorette/
10:41 Publié dans coup de coeur, rire, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 05 février 2009
On trouve des pepites sur dailymotion (suite)
Dans une note précédente, je parlais d'un court métrage réalisé par des étudiants de l'Ecole supérieure des métiers d'art (ESMA) de Montpellier, ORACLE ...
Beaucoup d'autres animation sont également disponibles sur dailymotion. Parfois inquiétantes, souvent poétiques, à trier évidemment car on y trouve de tout, mais je me suis donc régalée pendant plusieurs heures ... et comme il existe un outil "videozap" pour les grouper et les mettre en ligne, je n'ai pas résisté à en faire un petit choix ...
15:53 Publié dans art, cinéma, coup de coeur, Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
dimanche, 01 février 2009
On trouve des pépites sur dailymotion
En ces temps, plus ou moins inquiétants, où l'on va ficher les jeunes dès 13 ans (et même certains voudraient commencer à 3 ans ...), j'ai découvert un court métrage réalisé par des étudiants de l'Ecole supérieure des métiers d'art (ESMA) de Montpellier : il s'agit d'"Oracle", un système futuriste qui permet de découvrir l'avenir de nos enfants alors qu'ils viennent à peine de naitre, et ainsi de savoir si oui ou non il deviendra un délinquant, permettant alors de choisir de le garder ou non ... Ce logiciel novateur permettrait de baisser la violence dans le monde d'une manière significative ! Un père de famille découvre donc l'avenir de sa fille d'une manière dubitative ...
Cette animation est épatante par la qualité de sa réalisation, mais aussi heureusement par sa fin très humaniste ... bravo aux réalisateurs qui font passer implicitement une question récurrente, peut on tout contrôler ?
Oracle
envoyé par Esma-Movie
Une foule d'autres animations à savourer sur http://www.dailymotion.com/Esma-Movie
12:17 Publié dans art, chronique à gauche, cinéma, coup de coeur, Web | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
lundi, 19 janvier 2009
Jacques Boistel d’Welles, architecte et visionnaire ...
En 1925, Bordeaux adopte un vaste programme d'urbanisme appelé "Plan Marquet" (1930-1940). Jacques Boistel d’Welles est alors l’architecte en chef de la ville, et à ce titre participe au développement de la ville, comme je l'ai écrit dans une précédente note.
Mais cet architecte était aussi un visionnaire, il n'y a qu'à lire ce qu'il écrivait sur la circulation automobile dans un texte intitulé "À propos de circulation urbaine", publié en 1951 dans la revue Urbanisme, en France.
Constatant que "le nombre des voitures automobiles augmente selon une progression irrésistible. À chaque augmentation du parc de 1.000 voitures visiteuses correspond la nécessité de trouver des kilomètres de trottoir d’accostage nouveaux" et que "le stationnement est l’obstacle majeur à ce flux (circulatoire)" car "il interdit à la plupart des usagers de l’auto l’avantage primordial attendu de ce moyen de transport : le trajet de porte à porte" puisqu'"on ne sait plus jamais si l’on pourra s’amarrer devant une porte d’entrée déterminée.", il préconise de "prendre des mesures draconiennes si l’on veut maintenir tous les avantages qui étaient, il y a vingt ans, ceux de l’usage de l’auto et qui sont grignotés chaque jour" .Il explique donc l'intérêt d'instaurer une forme de partage des véhicules pour en diminuer le nombre et propose la création d’une "Société de transport en commun" dans ce qu’il nomme les C.A.E. (les "capitales anciennes évoluées") "dont le but essentiel serait d’offrir au citadin la possibilité de se dégager précisément du moyen de transport en commun classique (par autobus ou chemin de fer) en lui permettant de se servir de voitures individuelles.
Il propose donc un certain nombre de solutions comme d'imposer aux immeubles neufs de construire un nombre suffisant de parking, de reléguer la voiture individuelle "dans de vastes garages situés à la naissance des autostrades, à la périphérie de la cité. Sa circulation en ville a été réglementée : heures et voies.de construire" mais surtout il propose que chaque "capitale ancienne évoluée" (Paris, par exemple) créent une "Société de transports en commun" qui fournisse à ses abonnés une " voiture spéciale de ville, la "citadine" [...] monoplace, vitesse limitée, sans klaxon, sans gaz brûlé, silencieuse", ce qui donne au citadin la possibilité de se dégager des moyens de transport en commun classiques, par autobus ou chemin de fer dit métropolitain, en lui permettant de partager des voitures individuelles. Ainsi, était née l'idée d'auto-partage qui permet d'utiliser une voiture sans posséder de voiture.
Sans doute Jacques Boistel d’Welles connaissait-il l'expérience de SEFAGE (Selbstfahrergenossenshaft, ou "club de conducteurs"), fondée à Zurich en 1948, où les membres s’étaient cotisés pour acquérir une automobile, un bien de luxe à l’époque. SEFAGE n’a jamais compté plus que quelques usagers et l’expérience fut sans lendemain et l'idée fut plutôt rangée au rang des utopies et des bizarreries !
Si, entre 1955 et 1960, plusieurs auteurs y allèrent de leurs propres suggestions, les premières expériences françaises d’auto-partage remontent seulement aux années 1970. mais cette forme de transport ne s'est réellement développée qu'à partir de la fin des années 1990, sur le modèle de ce qui avait été inventé en Suisse au milieu des années 80 (la Suisse représente à elle seule près d'un tiers des auto-partageurs européens avec 70 000 adhérents), et il faudra attendre un demi-siècle pour que le législateur lui donne en 2006 un cadre juridique spécifique, à l'initiative de Roland Ries, sénateur socialiste du Bas-Rhin et maire de Strasbourg. Aujourd'hui des expériences d’auto-partage existent dans une vingtaine de grandes villes françaises, en particulier à Paris, Strasbourg, Marseille, Lille ou Lyon ... mais ce service ne représente que 5 % des conducteurs français.
00:20 Publié dans à méditer, coup de coeur, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
samedi, 10 janvier 2009
Coplas por la muerte de su padre
Je viens de perdre un ami, et pure coincidence, France inter passait tout à l'heure cette belle chanson de Paco Ibáñez, tiré d'un long poème médiéval ... le début de la version "originale" du XVième siècle ...
I - Recuerde el alma dormida
Recuerde el alma dormida,
avive el seso y despierte
contemplando
cómo se pasa la vida,
cómo se viene la muerte
tan callando,
cuán presto se va el placer,
cómo, después de acordado,
da dolor;
cómo, a nuestro parecer,
cualquiera tiempo pasado
fue mejor
II - Pues si vemos lo presente
Pues si vemos lo presente
cómo en un punto se es ido
y acabado,
si juzgamos sabiamente,
daremos lo no venido
por pasado.
No se engañe nadie, no,
pensando que ha de durar
lo que espera
mas que duró lo que vio,
pues que todo ha de pasar
por tal manera.
III - Nuestras vidas son los ríos
Nuestras vidas son los ríos
que van a dar en la mar,
que es el morir,
allí van los señoríos
derechos a se acabar
y consumir;
allí los ríos caudales,
allí los otros medianos
y más chicos,
y llegados, son iguales
los que viven por sus manos
y los ricos.
La suite ici
Coplas por la muerte de su padre, appelé également Coplas a la muerte del maestro don Rodrigo, ou tout simplement coplas de Jorge Manrique, une élégie écrite par Jorge Manrique à la mort de son père. Écrite après le 11 Novembre 1476, date de la mort de Don Rodrigo Manrique, ce long poème constitue une des œuvres capitales de la la poésie castillan.
Le poème est composé de 40 strophes (on parle de "laisse" dans la littérature médiévale). Chacune est une suite 12 vers caractérisés par une alternance de deux octosyllabe suivis d'une tétrasyllabe ou d'une pentasyllabe. Pour sa part, Paco Ibáñez en a fait une version musicale dans les années 60 avec un rythme imposé par cette forme très particulière.
Et la chanson donc en vidéo ...
18:33 Publié dans coup de coeur, poèmes, souvenirs | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |
vendredi, 09 janvier 2009
Le 9 janvier 1959 première de Cinq colonnes à la une
Le 9 janvier 1959 pour la première fois, un magazine d’actualité du nom de Cinq colonnes à la Une, impose son rendez vous le premier vendredi de chaque mois, à 20h30, autour de l’équipe de Pierre Lazareff, Pierre Dumayet et Pierre Desgraupes et du réalisateur Igor Barrère. Le petit écran ouvre ainsi une fenêtre sur le monde. L'émission cessera d'être diffusée peu après les évènements de mai 1968, après 103 numéros.
Je ne sais pas si ça vous dit quelque chose, mais la musique du générique, c’est vraiment quelque chose !!!
Au menu de cette première émission : de la politique avec un portrait de Michel DEBRE, nommé premier "premier ministre" de la Cinquième République la veille 08 janvier 1959, un reportage en Algérie, sur le sergent Charlie Robert, jeune appelé dans une compagnie opérationnelle et chef de groupe de combat de tirailleurs, ou encore l'interview en triplex de trois ouvriers de l'industrie automobile, un Français travaillant chez Renault à Flins, un Allemand employé de Volkswagen et un Italien de la firme Fiat à Turin. Ce reportage les montre tout d'abord en activité sur leur propre lieu de travail, sur leur niveau de vie, leurs salaires, les vacances, et leurs sentiments devant les débuts du marché commun, qu'ils voient tous d'un bon œil ; la culture avec l'ouverture prochaine à Athènes du Musée de l'Acropole, ou le Pape Jean XXIII et son expérience du cinéma ; les spectacles avec la présentation par France Roche du film "Jeux dangereux" de Pierre Chenal avec Sami Frey et Pascale Audret, un concours de hula-hoop aux Etats-Unis, ou la 100ème du show Yves Montand au théâtre de l'Etoile ; des faits divers et un interview d'Alain Bombard suite au naufrage de deux canots de sauvetage près du port d'ETEL (BRETAGNE) qui a causé la mort de neuf personnes lors d'une expérience menée par lui même, et même du "poeple" avec Brigitte Bardot dans son premier film réalisé en 1939 par sa maman "tatty", ou les petits-fils du général De GAULLE, Charles, Yves et Jean en promenade au Bois de Boulogne avec leur mère …
Générique cinq colonnes à la unes ici
03:04 Publié dans art, coup de coeur, Histoire, souvenirs | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
jeudi, 08 janvier 2009
Sa mort nous laisse baba.
"- Si on parlait un petit peu du mariage ? Pour le traiteur, j’ai pensé qu’on pouvait prendre Lenôtre.
- Qui c’est ?
- Pardon ?
- Le traiteur ! Qui c’est ?
- C’est Lenôtre mais si vous préférez prendre le vôtre...
- Non, on va prendre le vôtre."
C’était en 2001, un dialogue entre la mère de Chochana et celle de Serge, dans La Vérité si je mens 2. Bien sûr ce n'était pas très original, nous, on l'avait déjà fait ... mais ces répliques sont devenues culte. Pour une maison comme Lenôtre, c'était aussi une sorte de consécration populaire !
Parmi ses inventions, un gâteau à la pâte de macaron et à la crème de nougatine baptisé Succès, ou l' Opéra (mais cette paternité est contestée, ce gâteau aurait été inventé en 1955 par Cyriaque Gavillon de la maison Dalloyau qui voulait créer une nouvelle forme d'entremets avec des tranches apparentes pour lequel une seule bouchée suffisait à donner le goût du gâteau entier et que son épouse, Andrée Gavillon, baptisa "Opéra" en hommage à une danseuse étoile et à ses petits rats qui faisaient des entrechats dans la boutique ... et pour nous embrouiller encore plus, on retrouve trace d'un gâteau de même composition sous le nom de gâteau Clichy dont un certain Louis Clichy serait le créateur en 1903 pour de l'Exposition Culinaire à Paris ...).
Il parait que Sacha Guitry et Marcel Pagnol ont été ses premiers inconditionnels, en particulier de ses macarons glacés (là, le macaron serait né à Venise au Moyen Âge et aurait été introduit en France par Catherine de Médicis ... mais selon la maison Ladurée c'est Pierre Desfontaines, petit-fils de Louis Ernest Ladurée qui, au début du XXe siècle, aurait eu l'idée d'accoler deux à deux des petits gâteaux ronds à la fois moelleux et croustillants et de les garnir d'une ganache.) et financiers (là encore il y a contestation ! a-t-il été créé par le pâtissier Lasne près de la Bourse vers 1890, pour régaler les financiers rapidement et sans se salir les mains, ou par les sœurs de la Visitation de Nancy en l'honneur du roi Stanislas de Pologne ?)
Aujourd'hui la mort de celui qui nous a fait fondre de Plaisir (aux noix, mon préféré depuis au moins 30 ans ... enfin fondre, pas les kilos ! et à déguster avec un bon Porto, il parait qu'il a été conçu exprès à la demande d'une association de gourmets, le Club des Cent ?) nous laisse baba !
20:02 Publié dans art, coup de coeur, petit conte culinaire, souvenirs, Yvelines | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 07 janvier 2009
Pour prolonger Noel !
Je sais, il fait froid, pas le temps à sortir dehors ! eh bien, pourquoi ne pas se lancer dans une partie de jeu de l'oie ? Traditionnellement, le jeu de l'oie comprend 63 cases disposées en spirale enroulée vers l'intérieur et comportant un certain nombre de pièges. Le pion est déplacé sur les cases en fonction du résultat de l’addition de deux dés lancés. Le but est d’arriver le premier à la dernière case, située au centre de la spirale. Seulement, de nombreux pièges parsèment le parcours … Il n’y a aucune stratégie, aucune réflexion. Seuls le hasard et la chance règnent, il faut compter sur son étoile, bonne ou mauvaise.
Pour certains ce jeu remonterait aux Egyptiens. Dans Amours et fureurs de la Lointaine (Stock, 1995), Christine Desroches-Noblecourt évoque le jeu égyptien du serpent, qui présente d'étranges similitudes avec le jeu de l'oie. Pour d'autres, comme Henry-René D'Allemagne, qui lui a consacré un livre (Le Noble Jeu de l'oie en France de 1640 à 1950, Paris, Gründ, 1950), le jeu aurait été inventé par les généraux grecs pour tuer le temps lors du siège de Troie. Mais la première mention de ce jeu provient de la cour des Médicis à Florence, vers 1580, et les plus anciens jeux de l'oie retrouvés, en Italie notamment, datent du début du XVIè siècle. On parle alors du "noble jeu renouvelé des Grecs". Depuis , le jeu de l'oie a inspiré une multitude de jeux éducatifs et moraux et certains font de son étude une des bases de leur recherche philosophique.
Ce soir, puisque maintenant vos émissions préférées se terminent pus tôt, vous pourrez commencer le roman de Jules Verne "Le Testament d'un excentrique ... Il s'agit d'un gigantesque jeu de l'oie : chaque case du jeu de l'oie correspond à un état des USA de l'époque. Comme le nombre d'états est inférieur à celui du nombre de cases du jeu de l'oie, l'état de l'Illinois (celui de la ville de Chicago) est répété plusieurs fois. Le gagnant du jeu de l'oie sera désigné comme l'héritier d'un millionnaire de Chicago.
Le Testament d'un excentrique est disponible gratuitement sur Wikisource ...
Et, dès que le temps le permettra, pourquoi ne pas aller faire une visite du Musée du jeu de l'oie situé dans le palais du roi de Rome de Rambouillet. Là sont présentées les 2 500 pièces de la collection de Pierre Dietsch, un polytechnicien d'origine alsacienne, responsable d'une petite société d'édition, qui écuma l'Europe pendant plus de trente ans pour constituer une des plus belles collections au monde. Cet homme discret, d'une infinie courtoisie, bibliophile éclairé, mourut en 2000, quelques mois après avoir laissé ses jeux en dépôt au musée de Rambouillet.
Musée du jeu de l'oie de Rambouillet : http://www.cg78.fr/culturel/musees/28_oie.htm ou http://www.ramboliweb.com/lepalaisduroiderome/index.asp
07:25 Publié dans Bavardage, coup de coeur, Histoire, souvenirs, Yvelines | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook |
mercredi, 23 juillet 2008
Promenade dans les arbres
Rien de mieux qu’une balade en forêt, sauf peut-être … une balade au-dessus de la forêt ...
L'Office National des Forêts a ouvert son premier sentier suspendu en 2007 à l’Espace Rambouillet, dans les Yvelines. Une balade en hauteur pour voir la forêt autrement : des passerelles et des plateformes dans les arbres pour prendre son temps, observer, apprendre, rêver, découvrir.
Un aménagement totalement sécurisé, une promenade familiale, des jeux, une vision renouvelée de la forêt : L’Odyssée Verte® est une activité ludique et pédagogique permettant aux promeneurs de cheminer, sans acrobatie ni harnais, à travers la forêt. Le parcours d'une longueur de 300 mètres, accessible aux enfants dès l'âge de 4 ans, est composé de 19 passerelles et 18 plates-formes accrochées aux arbres à plusieurs mètres de hauteur (de 2,5 mètres à 7,60 mètres), par un procédé original respectueux de l’arbre et son fonctionnement.
Au programme des nouveautés 2008 ?
"L’Odyssée Verte® des petites bêtes" : tout l’été les insectes « s’exposent » tout au long du parcours. Une araignée géante marque le bout du chemin, quelques fourmis et sauterelles « posent » sur leur tronc, d’immenses papillons et une libellule "s’affichent en très grand",... bref, les petites bêtes envahissent l’Odyssée Verte® . Au fil du parcours, des lutrins sollicitent les promeneurs par un jeu de questions/réponses sur ce monde de ces toutes petites bêtes.
"Les corvidés apprivoisés" : un maître oiseleur invite corbeaux, corneilles et pies agrave; rejoindre le public pendant le parcours. Un spectacle vivant qui permet aux visiteurs de écouvrir de très près ces corvidés qui, selon les pays, peuvent ecirc;tre des oiseaux de malheur, le messager de bonnes nouvelles, l’oiseau bavard, l’oiseau voleur,...
Une animation à vivre les mercredis 2 et 16 juillet et les mercredis 6 et 20 août 2008.
Quelques informations pratiques enfin...
L’Espace Rambouillet est situé Route Départementale 27, entre Rambouillet et Clairefontaine Tél : 01 34 83 05 00 - www.onf.fr/espaceramb/
Ouvert, tous les jours jusqu’à la fin du mois de novembre 2008, de 13H00 à 18H00. (à partir de 10h00 les week-ends et jours fériés des mois de juillet et août)
Pour s’y rendre, la voiture ou le train depuis la gare de Rambouillet, les dimanches et jours fériés ... avec ne nouveauté 2008 : Le Baladobus, un moyen de transport écologique et économique « Une balade en bus » qui donne droit à une réduction à l’entrée de l’Espace Rambouillet.
15:23 Publié dans Bavardage, coup de coeur, Yvelines | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
mercredi, 09 juillet 2008
Mathilde
Mathilde est née un jour de printemps
Auréolée d'une lumière dorée scintillant
Tous se tournaient vers cet ange innocent
Hors du temps et joliment vêtue de blanc
Irradiant un je-ne-sais-quoi de captivant
Les fils d'or de ses cheveux naissants
Dansaient si on s'approchait légèrement
Elle était un rêve et est devenue un enfant
Source : http://www.acrostiche.org/acro/prenoms/mathilde/...
et ta mamie t'embrasse !!!
23:17 Publié dans coup de coeur, Mathilde | Lien permanent | Commentaires (2) | Facebook |